Bonjour,

Ma femme a des relations extraconjugales depuis plus de 2,5 ans (j’ai pu recenser une douzaine de relations sexuelles avec différents partenaires).
Elle loue son appartement depuis début 2022 mais continue de vivre avec nous la majorité du temps.
Elle a d’ailleurs eu sa dernière relation extraconjugale hier à son appartement, en prétextant aller « boire un verre ». Dans ce cas, c’est à moi seul de « compenser » auprès de nos enfants (de 6 et 9 ans) pour leur dire « maman ne mange pas avec nous ce soir et je ne sais pas quand elle va rentrer » …

Quel type de divorce est envisageable sachant que :

o c’est elle qui entretient ses contacts extra-conjugaux (et rapports sexuels régulièrement) – et ‘tranquille’ chez elle maintenant.
o c’est elle qui impose vivre ça à moi et nos 2 enfants.
o Force est de constater qu’elle a de nombreux symptômes de la dépression : elle prend des anxiolytiques régulièrement, moral bas quasi permanent, mauvaise humeur quasi permanente, toujours mal quelque part (elle a d’ailleurs de très nombreuses consultations médicales à son actif, même avec des spécialistes … mais « ils ne comprennent jamais » ce qu’elle dit avoir …), sautes d’humeur fréquentes (parfois contre les enfants), voie toujours les choses négativement … et elle refuse catégoriquement de se soigner (via une thérapie psychologique par exemple).
o Me concernant, un très grave accident de VTT à 21 ans occasionne aujourd’hui des séquelles permanentes qui justifie mon statut de travailleur handicapé.
Et ma femme a clairement et largement utilisé contre moi mes handicaps pour démarrer ses activités et « rester comme ça » depuis 2,5 ans. Je trouve particulièrement immoral qu’elle me reproche mes handicaps et s’en serve pour justifier ses agissements ! Cette discrimination est condamnée dans le milieu professionnel, dans quelle mesure ce qu’elle me fait subir peut « peser dans la balance » ? Car elle a clairement utilisé mes « faiblesses » (notamment la condition physique que je n’ai plus, troubles neurologiques) pour démarrer et entretenir ses relations extra-conjugales, pour me dit-elle « profiter de la vie ».
o Avec le recul, je me demande même si ma femme ne m’aurait pas « utilisé » seulement pour se sortir rapidement de son mariage précédent … car il s’agit de son second mariage. Et le séquencement de son premier a une curieuse ressemblance (vie commune puis mariage puis achat maison puis divorce car elle se serait lassée). N’aurait-elle pas trompé son premier mari aussi ?
o A partir du moment où j’ai « accepté » les infidélités de ma femme, elle me dit que ce n’est pas possible de continuer comme ça. Et toutes les fois où on « s’accroche » et qu’elle me menace de séparation, elle arbore un sourire et un visage joyeux qui me fait penser que c’est son ‘objectif’ (d’où mon impression qu’elle s’est déjà construit une sortie de secours) …
o Plus le temps passe et plus nos moments intimes sont rares : elle consentait à un unique rapport sexuel par mois, puis une unique masturbation par semaine, puis ce n’est plus rien du tout, elle me dit « tu te débrouilles ! Et je ne veux pas le voir ni le savoir ». Et elle s’offusque dès que j’ai une réflexion ou geste qu’elle peut rapprocher (de loin) à du sexe !
o Elle déjeune fréquemment avec un de ses amants tandis qu’elle refuse systématiquement de manger avec moi le midi, sous prétexte d’avoir trop de travail …
o Sous couvert de me dire être honnête avec moi, j’ai souvent constaté des messages téléphoniques de contacts dont elle disait ne plus avoir de nouvelles … ou des discussions avec de nouveaux contacts … ou des rdvs secrets … encore et encore !
o sous prétexte de « tranquillité », ma femme loue son appartement pas loin de chez nous et de son travail pour pouvoir, me dit-elle « être avec vous tout en ayant des moments de tranquillité ».

Quelles sont mes possibilités pour « me retourner » sans que la nouvelle situation pénalise moi et nos enfants ? Car je répète que ses adultères ont été / sont / seront nombreux et que nous 3 sommes mis au pied du mur … et quand je lui en parle, elle me dit préférer « continuer et tout casser » que d’arrêter …

Merci d’avance
Cordialement

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Maître Alexia Greffet, Avocate Alexia Greffet, avocate divorce

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